Mes histoires naissent dans l’imaginaire qui se construit à partir de souvenirs, de ce que l’on rêve pour l’avenir. […] J’ai besoin de voir le portrait des personnages qui font partie de mes histoires, de voir les paysages qui sont les toiles de fond sur lesquelles s’écrivent ces histoires.
Nicolas Vanier
D’abord connu en tant qu’explorateur de contrées sauvages et lointaines, Nicolas Vanier est également réalisateur de longs métrages touchants, humains et prenants tels que Belle et Sébastien, L’école Buissonnière ou Donnez-moi des ailes. Fort de son expérience de grand voyageur et de son amour pour la Nature, il ne cesse de valoriser cette dernière à l’image, lui donnant l’un des rôles principaux de chacun de ses films. Il aborde également les relations humaines et les défis d’une vie, et permet au public de s’identifier aussi bien aux Hommes qu’aux animaux. Son dernier film Poly, raconte l’histoire de complicité et d’amour qui peut parfois naître entre un animal et un être humain, et est sorti dans les salles en octobre 2020
Poussé par une envie apparemment insatiable d’aventure, il cumule des expériences et développe des passions extraordinaires (telles que les courses de chien de traineaux) qu’il choisit de partager à travers ses récits d’aventure.
En 1984, pour sa première aventure, il part dans le grand nord canadien avec deux coureurs des bois, Michel Denis et Jacques Duhoux, et leur attelage de chiens de traîneaux. Cette traversée dans les grandes solitudes glacées n’est que le tout premier pas d’un long chemin qui le mènera dans tous les pays où le froid, la rudesse des conditions de vie et la solitude, ont préservé la nature et la vie sauvage.
Émerveillé par la nature et inspiré par les personnes qu’il a connues tout au long de ses voyages, Nicolas Vanier raconte des récits qui témoignent du rapport qui peut se former organiquement entre Nature et êtres humains.
Que ce soit par l’écriture de livres ou la réalisation cinématographique, Nicola Vanier ne cesse d’émerveiller son public et d’inspirer la curiosité ainsi que le sentiment d’appartenance à un monde plus vaste, digne de respect et extrêmement diverse, qui vaut d’être préservé pour que les générations futures puissent profiter de sa richesse naturelle.
© photo : Eric Travers / Nicolas Vanier